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Publications

AAP- « Je coopère avec les pays de l’OECO »

Le 14 mars 2019, la Guadeloupe adhérait en tant que membre associé à l’Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale (OECO). En devenant le 11ème membre de l’OECO, la Guadeloupe a ainsi affiché son ambition de s’intégrer davantage dans son bassin régional et de participer activement aux défis économiques, sociaux, financiers et environnementaux de la Caraïbe Orientale.

 

Pour la troisième année consécutive, le conseil régional lance son appel à projets « Je coopère avec les pays de l’OECO », à la date anniversaire de son adhésion à l’Organisation. L’objectif de cet appel à projets est de valoriser des initiatives permettant une meilleure appropriation par la population de son environnement caribéen, voire une plus grande insertion dans la vie sociale, culturelle et économique, particulièrement avec les pays de l’OECO.

Objectifs: 

  • Favoriser les rencontres et les échanges avec d’autres caribéens, particulièrement avec les pays de l’OECO.
  • Encourager les initiatives de coopération conduites avec des partenaires étrangers entre la Guadeloupe et les pays de la Caraïbe Orientale

 

Thématiques privilégiées:

  • Promotion de la diversité linguistique et culturelle dans la zone OECO (créole/anglais/français)
  • Préservation des écosystèmes communs au sein du bassin de l’OECO
  • Développement de la pratique du sport et soutien aux échanges de sportifs et/ou d’encadrants de sportifs. 

 

Public(s) cible (s)  :

  • Associations
  • Centres de formation professionnelle
  • Etablissements scolaires (niveaux lycées et BTS)

Le dépôt des dossiers : 

Les dossiers seront déposés par voie dématérialisée* et/ou voie postale auprès de la collectivité régionale aux adresses suivantes :

 et 

ou par voie postale 

Direction de la Coopération, Hôtel de région Avenue Paul Lacavé Petit Paris 97100 Basse-Terre.

La date limite de dépôt des dossiers est fi xée au 30 septembre 2023 à 23h59. Les dossiers reçus après cette date ne seront pas examinés au titre du présent appel à projets.

Sainte-Lucie-Guadeloupe des liens à renforcer : le plaidoyer de Karib Horizon en faveur de la coopération décentralisée ! 

Une visite qui s’inscrit dans le cadre du renforcement des liens de partenariat entre les collectivités territoriales de Guadeloupe et leurs homologues de Sainte-Lucie.

 

Remise des prix du concours Caribbean Way Of Life  (#CWOL)

À l’occasion de la remise des Prix du concours Caribbean Way Of Life  (#CWOL) au Sir Arthur Lewis Community College (#SALCC) organisée par le Mouvement jeunesse du CORECA, l’équipe de Karib Horizon s’est rendue à Sainte-Lucie.

 

Le but du concours 𝗖𝗮𝗿𝗶𝗯𝗯𝗲𝗮𝗻 𝗪𝗮𝘆 𝗼𝗳 𝗟𝗶𝗳𝗲 était de capitaliser sur les bonnes pratiques de nos territoires en matière d’environnement et de développement durable en diffusant des vidéos témoignages.

Afin de conclure en beauté la première phase du projet Carib’Excellence,  le Mouvement Jeunesse CORECA a organisé une cérémonie afin de récompenser les étudiants du SALCC pour leur production de qualités en faveur du développement durable sur le territoire de Sainte-Lucie.  ( plus d’information sur  le concours ici)

Au cours de ce déplacement sur l’île de Sainte-Lucie, l’équipe de Karib Horizon en a profité pour aller à la rencontre de différents acteurs majeurs du territoire promouvant la coopération entre Sainte-Lucie et la Guadeloupe. 

 

 

Stimuler la coopération régionale

 

Le Réseau Régional Multi-Acteur Karib Horizon a pour objectif de développer et renforcer l'impact et la qualité des projets de coopération et de solidarité internationales dans la Caraïbe.

Ces actions comprennent non seulement les projets de solidarité internationale, mais également la coopération sportive, culturelle, la coopération décentralisée  c’est pourquoi, en déplacement à Sainte-Lucie l’équipe de Karib Horizon est allée à la rencontre d’acteurs au cœur des échanges entre les deux îles. 

 

Ainsi,  le RRMA de Guadeloupe souhaite accompagner et revitaliser les relations entre la Guadeloupe, Sainte-Lucie et la Caraibe, non seulement au niveau des collectivités territoriales (Action Extérieure des CT) mais également au niveau des Organisations de la société civile (Education à la Citoyenneté et la Solidarité Internationale et Coopération et Solidarité Internationale) .

 

 

Lors de ce séjour, l’équipe du RRMA a visité, grâce au concours de Mendy Kilo (Chargé de coopération à l'Organisation des Etats de la Caraïbe Orientale) et de Audrey Galvani (Direction de la coopération extérieure du CR de Guadeloupe), les locaux de l'Organisation des États de la Caraïbe orientale (OECO).  Cette visite a donné lieu à un échange sur l’importance du lien entre Coopération institutionnelle et coopération populaire issus des OSC et décentralisée entre les autorités locales avec Mme Bernadette Auguste, Responsable des relations internationales de l’OECO

 

 

Karib Horizon s’est rendue au City Hall de Castries afin de rencontrer Mme Géraldine Lendor-Gabriel, Maire de la ville de Castries grâce au soutien de Mme Teresa Samuel, Présidente de l’Association Sainte-Lucie Territoire Français d’Amérique.

La ville de Castries est jumelée avec la ville de Bouillante et entretient des échanges avec la ville des Abymes. Ainsi, des jeunes de Castries participeront notamment à une rencontre aux Abymes ayant pour thèmes, les jeunes et la coopération régionale.

 

Très impliquée dans le développement des échanges entre Castries et la Guadeloupe Mme le maire, souhaite multiplier les rencontres entre les deux îles, notamment les rencontres culturelles autour de la musique, de la langue et de la gastronomie avec un focus sur l’insertion des jeunes au sein des différents projets de coopération qu’elles souhaitent mener.

 

Convaincue de la grande importance de promouvoir la coopération bilatérale, Mme G. Lendor-Gabriel affiche une réelle volonté de valoriser efficacement les relations entre sa municipalité et celles de Guadeloupe.

                    

Une volonté également exprimée par les représentantes de Babonneau, (District Est de Castries) Mme Lucy Gaspard, Mme Florentina POPO et Mme Netaki DENIS qui coopèrent depuis plusieurs années avec Grand-Bourg de Marie Galante.  Babonneau est particulièrement intéressée par les thématiques sportive, culturelle et environnementale.

 

À Babonneau, Karib Horizon a rencontré le président de l’association sportive « New Generation » qui le jour même recevait pour la première fois une délégation du Stade Lamentinois dans le cadre d’un tournoi de football entre les deux clubs.

 

 

Plus qu’un simple tournoi de Football, c’est un exemple de coopération régionale et d’ECSI menée dans le cadre d’un projet sportif en faveur des jeunes des deux îles. Durant leur séjour les jeunes du stade lamentinois ont également participé à des visites de sensibilisation autour de la biodiversité de Sainte-Lucie. 

 

 

Rencontres qui n'auraient pas été possibles sans l’aide de Mme Teresa Samuel, Présidente de l'association Sainte-Lucie, Territoire français des Amériques. Au-delà de la coopération populaire, l'Association Sainte-Lucie, Territoire français des Amériques  occupe  une place centrale dans la coopération régionale entre la Guadeloupe, la Martinique et Sainte-Lucie. Au contact des acteurs territoriaux de chacunes des îles, elle aide les porteurs de projets francophones et anglophones.

 

 

Un plaidoyer en faveur de la coopération régionale 

 

Afin de nourrir son plaidoyer en faveur du développement de l’action extérieure des collectivités territoriales (AECT) et du renforcement des liens dans la Caraïbe, des collectivités locales et des OSC (ECSI), Karib Horizon va à la rencontre des collectivités de Guadeloupe. En effet, nous souhaitons encourager  les nouveaux jumelages et revitaliser les anciennes conventions entre municipalités. Ils représentent des étapes importantes pour les futurs connexions entre des associations ou des écoles issus de ces villes ayant décidé d'échanger avec la Caraïbe. 

 

Convaincu que les collectivités territoriales et les OSC de toutes tailles peuvent jouer un rôle d’accélérateur de la régionalisation en complémentarité avec les collectivités majeures, le RRMA souhaite se positionner dans un rôle de « facilitateur », d’accompagnateur, de partenaires, de sources de conseils des différents acteurs de la coopération et de la solidarité internationale en région.  

Jeunesse - Solidarité Internationale -Financements 

 

15-25 ans : il existe des aides pour réaliser vos projets de solidarité internationale!

Les programmes Jeunesse, solidarité internationale (JSI) et Ville, vie, vacances/solidarité internationale (VVV/SI) permettent des rencontres interculturelles de groupes de jeunes Français et étrangers autour d’une action de développement, en France ou à l’étranger. C’est un moyen intéressant de donner à ces jeunes l’occasion de s’engager dans des projets de solidarité internationale. Le Fonjep gère ces programmes avec l’appui de deux comités, composés chacun d’un collège associatif et d’un collège de représentants des pouvoirs publics.

 

Le FONJEP

En lien avec ses partenaires, le Fonjep gère plusieurs dispositifs de solidarité internationale financés par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et l’Agence française de développement (AFD). Destinés aux jeunes, aux adultes ou aux associations, ces dispositifs se complètent pour favoriser la découverte d’autres cultures, l’engagement dans des actions collectives, solidaires et durables, et le développement d’une citoyenneté mondiale.

 

Deux Programmes :

 

1️⃣ Jeunesse, solidarité internationale (JSI)

2️⃣ Ville, vie, vacances/solidarité internationale (VVV/SI)

 
 
 
 
L’aide est de 11 500€ max. pour les projets au départ de l’Outre-Mer.
jusqu'à 3️⃣0️⃣ ans :
 

Initiative pour la solidarité internationale (ISI)

 
 
ISI: L’aide est de 4 000 € max.
 
Les objectifs :
 
?Permettre aux jeunes Français et aux jeunes des pays partenaires de se rencontrer, d’échanger et d’agir ensemble.
 
?Promouvoir les activités collectives, solidaires et durables.
 
?Encourager l’action des organisations de jeunesse en faveur de la paix, de la cohésion sociale, de l’implication des jeunes dans la vie locale et la démocratisation des sociétés.
 
 
 

Veuillez trouver ci-dessous le calendrier de premier trimestre du 2024 :

 

 

 

 

Pour plus d'informations :

 
 
 
 
 
 

Interview , Cédric, 28 ans, Volontaire International : «  Quand on part en V.I.E il y aura forcément un choc culturel ».

 

«  Quand on part en V.I.E il y aura forcément un choc culturel ».

 

Connaissez-vous le V.I.E : Volontariat International en Entreprise ? En quoi cela consiste et comment candidater ?

Le V.I.E s’effectue entre 18ans et 28 ans. C’est un dispositif qui permet d'effectuer une mission (culturelle, scientifique, technique, commerciale, humanitaire...). Le V.I.E peut s’effectuer dans une entreprise française à l'étranger, une entreprise étrangère liée à une entreprise française par un accord de partenariat ou au sein d’un organisme étranger engagé dans une coopération avec la France. Sa durée est de six mois à deux ans. Le volontariat international en entreprise (VIE) est une bonne solution pour s’expatrier. Il présente de nombreux avantages non négligeables. Même si on ne parle pas de « salaire », mais « d’indemnités »,  il offre un revenu net et non imposables, confortable quel que soit le pays d’accueil.

Cédric POPULO, 28ans Volontaire International en Entreprise (VIE) pour la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) de la Martinique au sein de la chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Sainte-Lucie nous parle de son expérience. 

Bonjour Cédric, parles-nous de ton parcours ? Qu’as-tu fait comme études ?

J’ai effectué mes études dans une école de commerce. J’ai un master Management des affaires internationales avec un cursus entièrement en anglais. Au cours de mon Master, j’ai effectué plusieurs échanges internationaux j’ai commencé par le Canada pendant 6 mois, puis un semestre à New York, avant de terminer par un semestre au Mexique.  Mon stage de fin d’études s’est déroulé en août 2018 cela fera bientôt 5 ans que j’ai été diplômé.

 

Comment as-tu découvert l’offre et qu’est-ce qui t’a donné envie de faire un VIE ?

J’ai commencé par un remplacement de trois mois pour congé de maternité à la C.C.I de Martinique en tant que conseiller international.  L’offre de VIE a été diffusée durant la période où j’étais en CDD et j’ai saisi l’opportunité.  

 

Peux-tu nous en dire plus sur ta mission ?

Je suis chargé de mission « Coopération régionale » au sein du projet Strengthening The Caribbean Caribbean Business Community. C’est un projet dont le principal bénéficiaire est la CARICHAM, le réseau des chambres de commerce de la Caraïbe, réseau de 23 chambres. Le projet dure 1 an, se termine le 30 Juin et mon contrat se finit le 31 Juillet 2023.

Ce projet à trois grands objectifs : le premier est l’enregistrement de CARICHAM  en tant qu’entité légale. Le deuxième, la mise en place d’une plateforme de formation commune à toutes les chambres de commerce. Le troisième, la mise à disposition d’une ligne d’écoute à destination des entrepreneurs pour le support psychosocial ( un safe space)  en période de crise.

 

Comment se déroule ton intégration au sein de l'entreprise ?

Je ne travaille qu’avec des Saint-Luciens. Je n’ai pas eu de galères, j’ai de bons rapports avec mes collègues et la structure qui m’accueille. Ils m’ont même aidé à trouver un logement et à déménager. 

 

Quels sont les prérequis pour espérer être retenu en V.I.E?  

Pour les V.I.E, il y a des niveaux de langue qui sont demandés ainsi que des connaissances de certains tissus économiques. Dans les annonces, on voit souvent la phrase qui revient « l’expérience à l’étranger est un plus » ou «  une première  expérience à l’étranger est fortement appréciée ».

 

Qu’est-ce que ça apporte d’être un V.I.E :

L’avantage, c’est surtout de pouvoir partir vivre à l’étranger, le V.I.E est disponible partout. Quand il s’agit de TPE et de PME, le V.I.E est souvent le seul représentant de son entreprise à l’étranger. Il a des missions qui sont intéressantes et responsabilisantes. Au sein des TPE et PME qui ont un volet export à développer, le V.I.E, seul représentant sur place, a un impact important sur l’entreprise. Dans des grands groupes, les missions sont toujours aussi “responsabilisantes", mais n’auront pas forcément autant d’impact sur la société mère.

De plus, c’est plus avantageux d’avoir un contrat d’expat en termes de logistique et en terme administratif. Les V.I.E ne touchent pas de salaires, mais des indemnités, qui restent relativement intéressantes d’autant plus qu’elles ne sont pas imposables. Dans la zone caraïbe, les revenus de V.I.E oscillent entre 2100 et 3400. 

 

En sommes, c’est un poste formateur qui développe tes capacités d’adaptation et d’initiative ?

Oui, premièrement tu deviens un couteau suisse ! Puis le V.I.E, t’amènes à être autonome et te responsabilise, même si cela ne vient pas de pair avec le contrat.

 

Quels sont les inconvénients ?

Lors de ton V.I.E, tu peux te sentir seul, même si tu peux être hébergé par un partenaire. La polyvalence est un avantage, mais aussi un défaut. Les responsabilités supplémentaires sont aussi à prendre en compte.  Elles peuvent provoquer quelques frustrations ou au contraire t'aider à développer des soft skills, qui n’étaient pas les tiens au départ et pour lesquels tu n’as pas été recruté. Personnellement, ce n’est pas mon cas, mais cela peut arriver.

L’éloignement de la famille est également à prendre en compte pour l’expatriation en général. Mais cela dépend aussi de ta personnalité. Aujourd’hui, pour moi la norme c’est de vivre éloigné, je suis partie en 2012 et je ne suis revenue qu’en 2020.

 

En tant que Caribéen, on est forcément amené à partir ?

Il faut sortir à un moment, y’a un rite de passage ou tu dois partir c’est rare de compléter la totalité de son parcours sur place, à l’université des Antilles.

 

Quelles sont les questions à se poser avant de partir en VIE ?

Il ne s’agit pas vraiment de se poser des questions sinon de se préparer. En effet, si tu n’as jamais connu d’expatriation par le passé, il faut s’y préparer. En soit, partir en V.I.E c’est comme n’importe quel départ, il faut se préparer au choc culturel.  Il y aura forcément un choc culturel que ta culture d’origine soit proche ou pas de la culture du pays d’accueil vers lequel tu tends.  Que ce soit dans la manière de faire les choses ou dans les modes de consommation, ou encore ton insertion de manière générale.

Il faut se préparer et se dire qu’on s‘apprête à vivre dans un pays sur du moyen long terme, en tant que jeune professionnel, où notre manière de faire les choses et notre manière de penser ne sont pas celle des locaux. En conséquence, il y aura des différences qui nous sauteront aux yeux et nous demanderont de nous adapter, en tant que culture minoritaire.

Il faut avoir énormément d’adaptabilité au niveau des relations personnelles comme professionnelles, car les gens ne communiquent pas du tout de la même manière que nous.  Il y a une échelle de dialogue qui tend vers le sous-entendu et le clair qui n’est pas forcément identique. Il faut, une grosse préparation culturelle, une grande ouverture d’esprit et une grande adaptabilité.

 

Même si on est dans un espace caribéen où l’on retrouve de nombreuses similitudes entre territoires, il y a-t-il des éléments qui t'ont particulièrement perturbé ? Des galères d’expat ? 

Pas en particulier. La seule chose qui m’a un peu gêné c’est l’accessibilité et le confort. Quand on déménage dans la Caraïbe, on se rend compte que l’on a une manière de consommer très française.  Parfois, il y a des produits qui pour nous sont basiques, constamment en rupture ou hors de prix. Mais non, je n’ai pas vraiment eu de galères d’expat.

 

Un conseil pour des jeunes qui aimerait faire V.I.E ?

Ne vous découragez pas, si jamais le V.I.E ne se fait pas directement à la sortie d’école, n’hésitez pas à chercher un autre type de poste et voir si en interne, il y a la possibilité d’effectuer un V.I.E.  Le V.I.E n’est pas forcément le contrat qui correspond le plus à la sortie d’école, mais après un ou deux ans, vous avez toutes vos chances.

On a jusqu’à la veille du 29e anniversaire pour candidater. Si tout se passe bien, on a la possibilité d'être renouvelé 1 fois dans la limite des 24 mois.

Après ton V.I.E, quel avenir ?

J’attends de savoir si le V.I.E est prolongé, mais repartir à l’étranger ne me dérangerai pas. Tout dépendra des conditions ainsi que du type de contrat que l’on me proposera. Je n’ai pas de destination privilégiée, je laisse la porte ouverte aux pays de la Caraïbe, en particulier les îles un peu plus dynamiques.

               

 

Lancement de la démarche « Jeunes pour un monde solidaire »

Du 6 juin et 7 juillet 2023, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères lance une consultation pour recueillir les attentes, les aspirations et les propositions des jeunes en matière de solidarité internationale.

 
 

Tu as entre 15 et 35 ans ? Alors réponds à ce questionnaire ! Cela prend 10 à 15 minutes maximum et il est possible de le remplir en plusieurs fois.

 

>> La démarche en quelques mots <<

 
 

Dans une société en perpétuel mouvement et aux multiples défis à venir, les jeunes témoignent de leur forte envie d’agir et de s’engager en faveur de la solidarité et du développement international en inventant de nouveaux espaces et en s’inscrivant dans des pratiques d’engagement inédites. A l’aune de multiples changements, ce désir d’engagement nécessite de prendre en compte davantage des jeunesses encore trop isolées des espaces de participation publique : elles ont pourtant toute leur place et une légitimité certaine pour s’exprimer sur leurs aspirations et participer aux politiques publiques de solidarité internationale. 

Concrètement, cette consultation a pour objectif de recueillir le ressenti et les attentes des jeunes sur les enjeux de solidarité internationale, d’identifier les conditions de leur participation et viendra enrichir la réflexion publique menée autour de la solidarité internationale.

La démarche consultative « Jeunes pour un monde solidaire » a été co-construite par la co-présidence du groupe de travail  « Jeunesses » (GT) du Conseil National du Développement et de la Solidarité Internationale (CNDSI), Bluenove et le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE).

 
 

Le questionnaire de la consultation

Répondre à cette consultation  prend une dizaine de minutes. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, chaque contributions reste anonyme et aucune question n’est obligatoire.

Le questionnaire « jeunes pour un monde solidaire » s’articule autour de 3 axes thématiques et comprend 12 questions :
  • La vision de la solidarité internationale et enjeux du développement : Quelle perception les jeunes ont-ils de la solidarité internationale et quels sont les enjeux qu’ils priorisent ?
  • L’engagement chez les jeunes aujourd’hui :Qualifier l’engagement des jeunes, les leviers et les obstacles
  • Les leviers et attentes dans l’engagement individuel:  Comprendre les formes et aspirations des jeunes en matière d’engagement

 

Les liens de la consultation:

 

Face aux inondations et glissements de terrain : solidarité avec Haïti

Le bilan des inondations et glissements de terrain en Haïti est en cours mais la solidarité ne peut pas attendre! 

Depuis deux jours, des pluies diluviennes s'abattent sur Haïti provoquant des  inondations et des glissements de terrain dans tout le pays. La Mairie de Léogane aurait confirmé un premier bilan de ces intempéries : 17 morts et des milliers de sinistrés à Léogane.

Face à ces intempéries, les autorités locales et les services d’interventions d’urgence sont mobilisés afin de répondre aux besoins de la population. L’Unité météorologique d’Haïti surveille de près l’évolution des conditions météorologiques et prend des dispositions pour informer régulièrement la population. 

Déjà éprouvée par une crise sécuritaire et alimentaire,  Haïti doit désormais faire face à des intempéries qui fragilisent un peu plus les ressources alimentaires et les infrastructures du pays.  

 

Restez informés ou partagez une action de solidarité à destination d'Haïti

De nombreuses initiatives ont été prises par les autorités locales, les collectivités et les acteurs de la société civile de toute la région. Nous saluons la volonté de la population guadeloupéenne de soutenir les haïtiens. Afin de garantir l'efficacité de cet élan de solidarité, nous recensons ci-dessous  les informations relatives aux initiatives fiables mises en place et auxquelles peuvent contribuer la population et l'ensemble des acteurs publics et privés de Guadeloupe.

 

NB : Cette page est mise à jour régulièrement. Si votre organisme mène une action de solidarité à destination d'Haïti, merci de nous en informer à l'adresse pour mettre à jour notre publication.

KARIB HORIZON - Réseau régional multi-acteurs de Guadeloupe
Ministère de l'Europe et des Affaires Etrangères
MINISTERE DE L'EUROPE
ET DES AFFAIRES ETRANGERES
Agence Micro Projets
AGENCE MICRO PROJETS
Maison de la citoyenneté de Pointe-à-Pitre
MAISON DE LA CITOYENNETE
DE POINTE-A-PITRE

Nous contacter

0690 187 187







16 rue Commandant Mortenol
97110 Pointe-à-Pitre

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